ARTS
Murder Rooms (GB 2000-2001)
Connue également sous le titre français "Les mystères du véritable Sherlock Holmes" cette mini-série comporte 5 épisodes de 90 minutes.
Le jeune Arthur Conan Doyle entre à l'université de médecine d'Edimbourg, là il rencontre un professeur charismatique : le docteur Joseph Bell.
Ce dernier va se prendre de sympathie pour l'étudiant et le prendre comme assistant.
Le docteur Bell est doté d'un grand sens de l'observation et de la déduction et est donc souvent mandaté par la police sur les lieux de crimes.
Le vieux professeur va entrainer son disciple dans des aventures dont il ne ressortira pas indemne.
Cette série vaut tout à fait le visionnage. Elle se base (de façon très libre) sur des faits réels : Le Docteur Bell a réellement existé, était aussi doué pour l'observation et la déduction qu'il était un professeur et médecin réputé.
Il pouvait déduire la profession et habitudes d'une personne d'un simple coup d'œil. La police avait effectivement recours à ces services et il se rendit même à Londres pour aider la police lors des meurtres de Jack l'éventreur.
Conan Doyle, qui fut effectivement son élève, a d'ailleurs toujours affirmé qu'il avait été inspiré par son vieux professeur lors de la création de son personnage.
Les scénarii sont bien construits et les enquêtes sont mystérieuses est palpitantes à souhait.
On y trouve des références aux œuvres de Sherlock Holmes. Certaines scènes sont clairement inspirées par les livres (la déduction de la montre, la cycliste solitaire…) L'ambiance est très sombre, assez glauque même mais très immersive.
Ian Richardson (qui avait joué Sherlock Holmes dans les années 80) est vraiment parfait en professeur Bell qui devient peu à peu une sorte de figure paternelle pour Doyle.
Conan Doyle est interprété par David Laing dans le pilote, puis Charles Edwards dans les 4 épisodes suivants. La transition passe assez bien le pilote se déroulant plusieurs années avant la suite. A partir du 2ème épisode Doyle est déjà médecin et installé dans une ville portuaire.
Il existe une belle alchimie entre les deux acteurs.
Bref à voir, mais pour un publique averti.
Tania
Article publié le 21 juin 2018
Le jeune Arthur Conan Doyle entre à l'université de médecine d'Edimbourg, là il rencontre un professeur charismatique : le docteur Joseph Bell.
Ce dernier va se prendre de sympathie pour l'étudiant et le prendre comme assistant.
Le docteur Bell est doté d'un grand sens de l'observation et de la déduction et est donc souvent mandaté par la police sur les lieux de crimes.
Le vieux professeur va entrainer son disciple dans des aventures dont il ne ressortira pas indemne.
Cette série vaut tout à fait le visionnage. Elle se base (de façon très libre) sur des faits réels : Le Docteur Bell a réellement existé, était aussi doué pour l'observation et la déduction qu'il était un professeur et médecin réputé.
Il pouvait déduire la profession et habitudes d'une personne d'un simple coup d'œil. La police avait effectivement recours à ces services et il se rendit même à Londres pour aider la police lors des meurtres de Jack l'éventreur.
Conan Doyle, qui fut effectivement son élève, a d'ailleurs toujours affirmé qu'il avait été inspiré par son vieux professeur lors de la création de son personnage.
Les scénarii sont bien construits et les enquêtes sont mystérieuses est palpitantes à souhait.
On y trouve des références aux œuvres de Sherlock Holmes. Certaines scènes sont clairement inspirées par les livres (la déduction de la montre, la cycliste solitaire…) L'ambiance est très sombre, assez glauque même mais très immersive.
Ian Richardson (qui avait joué Sherlock Holmes dans les années 80) est vraiment parfait en professeur Bell qui devient peu à peu une sorte de figure paternelle pour Doyle.
Conan Doyle est interprété par David Laing dans le pilote, puis Charles Edwards dans les 4 épisodes suivants. La transition passe assez bien le pilote se déroulant plusieurs années avant la suite. A partir du 2ème épisode Doyle est déjà médecin et installé dans une ville portuaire.
Il existe une belle alchimie entre les deux acteurs.
Bref à voir, mais pour un publique averti.
Tania
Article publié le 21 juin 2018
Retour
